LA PESTE- CAMUS

Création en Juin 2009 La Peste

d’après Albert CAMUS (Editions Gallimard 1947)

Adaptation et mise en scène dans le Tambour (scénographie) : Philippe Mathé

Avec Odile FRÉDEVAL, Jean-Claude GAUTHIER et Philippe MATHÉ

Régie lumière : Joël VIOT

Co-production Festival d'Anjou – Conseil Régional des Pays de la Loire – EPCC Anjou

Le TAMBOUR des Livres en scènes : (voir dossier)  chapiteau 100 places itinérant

LA PRESSE :

Courrier de l’Ouest – 17 juin 2009     « Une adapation hyperconvaincante du livre culte : courrez-y »

« 1ère raison d’y aller : vous vous dîtes : « La Peste », roman-chronique de Camus volontairement terne ( ?…) mais que parvient à infirmer complèment ce magicien de Philippe Mathé dans son adaptation pleine de vie qui rebondit sans cesse d’un comédien à l’autre.

2ème raison d’y courir : les troix comédiens justement, (…) toujours impec’, (…) on est littéralement scotché

3ème raison de s’y ruer : les trouvailles de mise en scène .
Philippe Mathé, ce MAGICIEN (le mot est pesé) livre une adaptation pleine de vie, qui rebondit sans cesse d'un comédien à l'autre ; on est « scotchés » par ces trois interprètes qui, avec Camus, « se suffisent de l'homme et de son pauvre et terrible amour » »

Ouest-France – 18 juin 2009    « La peste grandement inoculée en son Tambour »

« Une remarquable peste. Fluide, dense et délicieusement contagieux !

L’écriture camusienne apparaît ici vivante voire vivace, souple autant qu’ouverte à une myriade de pistes de réflexion… En allaint la forme et le fond, le BiblioThéâtre fait grand œuvre de transmission et d’esthétique. »

Retours écrits de programmateurs professionnels :

extrait du courrier de M Auger (EPCC-Le Quai Angers 2009)

« Philippe Mathé avec le BiblioThéâtre nous procure un immense plaisir en reprenant ce texte, en nous le redonnant de façon simple et entière à la fois… On le redécouvre avec jubilation, l’intrigue, les mots de Camus, la force de son propos en ces temps de H1N1, de peurs collectives, de peur des autres, d’individualisme forcené… La peste prend alors tout son sens, nous indique des pistes et nous donne peut-être des clés…

Le découpage du texte à la fois nerveux, enlevé, dynamique nous tient en haleine, il est subtilement servi par trois comédiens talentueux qui virevoltent et s’échangent continuellement tous les rôles. La mise en scène nous enveloppe dans ce « tambour » qui se prête merveilleusement au récit, nous sommes au cœur de l’action, au cœur de nos peurs, de nos interrogations.

Un beau moment de théâtre, jamais ennuyeux, juste, intelligent, citoyen, du vrai théâtre populaire à recommander pour tous les publics. »

Extrait du courrier de M Métayer (Le Jardin de Verre Cholet 2009)

« Je n'en ai pas perdu une miette : on est tenus en haleine, plongés au coeur de la situation, encerclés... on vit un beau moment de théâtre et de littérature et un vrai moment politique (au sens étymologique) : tous rassemblés pour réfléchir et réagir aux affaires de la cité. »